Corona Circus : un point sur la situation

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« En politique, il faut suivre le droit chemin ; on est sur de n’y rencontrer personne. » Otto Von Bismarck

Difficile de suivre tous les épisodes de la saga covidiste tant chaque jour apporte son flot ininterrompu de nouvelles injonctions, de nouvelles menaces, de nouvelles informations toujours plus délirantes, plus effarantes, plus absurdes que la veille. En revanche, lorsque l’on connait les basses manœuvres gouvernementales et surtout les objectifs réels de cette plandémie (Great Reset, réduction drastique des standards de vie en Occident, contrôle des populations, entre autres réjouissances), nul ne s’étonnera de l’ abîme vers lequel nous nous dirigeons. La rapidité, la précipitation avec laquelle l’Etat macroniste a mis en place son système légal de chantage et d’extorsion de consentement en matière de vaccination me conforte dans mon analyse : la rentrée sera synonyme de retour des confinements et plus généralement des mesures liberticides telles que nous les avons expérimentées depuis un an et demi, et plus si affinités. Déjà les obligations de porter à nouveau la muselière se remettent à fleurir un peu partout en France. De nombreuses municipalités disent « réfléchir » à rétablir un couvre-feu dès le mois d’aout. La Martinique et la Réunion sont à nouveau confinées. Bref vous l’aurez compris, le retour à la vie d’avant attendra, n’en déplaise aux doubles vaccinés.

Avec cependant un nouveau paramètre dans l’équation d’ingénierie sociale en cours, l’opposition créée et largement alimentée par la caste politico-médiatique. Tout indique en effet, que la stratégie actuelle à l’œuvre est de faire miroiter au bétail docile (ou aux personnes apeurées) de perdre leur travail des passe-droits conditionnés au pass sanitaire.

Non seulement les récalcitrants à la piquouze salvatrice sont interdits de sorties, de loisirs, de restaurants, de bars mais il vont se retrouver au chômage et en plus, ils seront assignés à résidence ! Tout un programme. La méthode éculée des fuites gouvernementales complaisamment relayées par la chaine du philanthrope Drahi avant de nier mollement puis de le valider quelques semaines plus tard. Il existe cependant au moins deux problèmes dans cette narration manichéenne :

1. le CDC américain en date du 27 juillet a mis en garde sur les variants du Covid qui seraient très

proches d’échapper totalement à la couverture vaccinale. Les virologues parlent de variants d’échappement, terme relatant les mutations développées par un virus afin de survivre (sur le même principe que la résistance développée par les bactéries face aux antibiotiques). Par ailleurs, il est admis de ne jamais procéder à une vaccination de masse en pleine période épidémique afin de ne pas stimuler ces mutations et surtout d’éviter une sélection au terme de laquelle seules les variants les plus robustes et donc les plus dangereux ne survivent potentiellement.

2. Le tristement célèbre Anthony Fauci a déclaré à la télévision US ce 28 juillet, « la charge virale de la variante delta dans le nez des personnes vaccinées est la même que celle des personnes non vaccinées, alors mettez votre masque s’il vous plaît. » A la lecture de cette intervention chacun peut donc mesurer l’efficacité phénoménal des vaccins, entre temps par la magie républicaine devenus obligatoires (ou presque). Mais le plus intéressant demeure le fait que face à cette situation, une troisième dose et une quatrième actualisée par rapport aux variants apparaissent comme inéluctables.

Ainsi tout semble converger vers l’impossibilité physique, matérielle de la mise en place de cette société à deux vitesses. Le pass sanitaire est à mon sens condamné d’avance, mort-né en quelque sorte. Face à la reprise de l’épidémie à l’automne (saison grippale bien connue) et en raison de l’inefficacité notoire des vaccins, tout le monde bénéficiera du même traitement si j’ose dire. Le cycle infernal des masques, du confinement et du reste.

La dissonance cognitive des zombies vaccinés risque fort d’être maximale. Comme je l’ai déjà écrit, le temps joue en notre faveur. Il faut tenir, résister, faire feu de tout bois. Dès demain, battre le pavé mais aussi boycotter tous les établissements qui jouent les auxiliaires de police et forcer les politiques à se mobiliser comme en Italie tout récemment.

Rendez-vous demain 31 juillet dans l’une des 240 villes où vivent encore des français fiers, fidèles à leurs ancêtres et qui se rappellent que Franc signifie libre. Haut les cœurs !

Article écrit par Jules pour le Réveil Des Moutons.

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